Man sagte mir, Pastor Hugo Schmidt sei “Der lächerliche Mensch”.
Einer der Anlässe auf die dies besonders zuträfe sei sein Auftreten auf dem Reichsparteitag in Nürnberg 1936
Lächerlich, würdelos. Die Würde seines Pfarreramtes verletzend,
seine eigene Dignität und Honorabilität in Gefahr bringend.
Ich bin mir da nicht so sicher.
Aber ich weiß auch, momentan wird dies heftigst von Journalisten der Berliner Zeitung vertreten, die “widerlichen Morallehren” der Nazigroßeltern tunlichts zu unterlassen seien.
Dennoch hätte ich da ein paar Fragen, vorallem an eine doppelbödige Moral der journalistischen ....Aufarbeitung.
Berlin SW 68.
Lindenstrasse 14
Bericht über Herrn Pastor Schmidt in Zehdenick.
Herr Pastor Schmidt ist Mitglied des NSKK und hat als solcher an dem Parteitag in Nürnberg in diesem Jahr teilgenommen. Ich selbst bin Ausbildungsführer der Brigade Ostmark und war als Mitglied des Stabes der Brigade bei der Transportleitung. Pastor Schmidt fiel uns schon auf dem Bahnhof Charlottenburg auf der Hinfahrt nach Nürnberg höchst unliebsam auf. Mit unnötigen Wünschen und Beschwerden belästigte er dauernd die Transportleitung. Er verlangte zunächst ein „Nichtraucherabteil“. Dies wirkte auf seine Kameraden höchst lächerlich, weil man selbstverständlich bei einem solchen Transport keinen Unterschied der Abteile machen kann. Ferner hatte er sich ohne unser Wissen sein Fahrrad eingeschmuggelt und im Gepäckwagen abgegeben. Wie er das fertig bekommen hat, ist uns heute noch unerklärlich. Wir Führer kamen bald zur Überzeugung, daß Pastor Schmidt irgendwie krank sein müsste. Es war für uns ausgeschlossen, dass einer, der dem geistlichen Stande angehörte, sonst so hätte handeln können. Schmidt war über die Grenzen des Brigadezeltes bald als „der verrückte Pastor“ im ganzen Lager bekannt. Er war die ganze Zeit hindurch der Gesprächsstoff des Lagers. leider sahen viele Kameraden in ihm einen Pfarrer und Vertreter der Kirche, sodass er dann häufig Anlass gab zu Stellungnahme gegen Pfarrerschaft und Kirche. Es ist unmöglich, alle Vorkommnisse genau aufzuzählen. ich will nur einige herausnehmen. Als wir zur Zeppelinwiese marschierten, um den Vorführungen der Wehrmacht beizuwohnen, trat Schmidt nicht an. Unterwegs fuhr er dann winkend mit seinem Rade an unserer marschierenden Kolonne vorbei. Nur durch unser Einschreiten wurde verhütet, dass Schmidt von unseren Männern vom Fahrrad gerissen und auf offener Strasse verprügelt wurde. Zweimal habe ich an diesem Tage persönlich eingreifen müssen, da sich die Kameraden immer wieder zusammentaten und ihm auflauerten, um ihn mit mit dem abgemachten Schulterriemen einen tüchtigen Denkzettel zu geben. Es konnte leider nicht verhindert werden, dass die Lagerinsassen eine Art Umzug mit Musik mit ihm veranstalteten. Am Tage der Abreise erklärte er, dass er nicht mit uns nach Hause kommen könnte. Er führe mit dem Rade und hätte noch wichtige Geschäfte zu erledigen. Wir machten ihn darauf aufmerksam, dass er doch zum Parteitag gekommen wäre und nicht in Nürnberg sei, um Geschäfte zu machen. Er fing an zu toben und wollte uns regresspflichtig machen, wenn wir ihn nicht fahren liessen, ja es sei von uns „Freiheitsberaubung“.
Rapport du
Limmeritz, le 20.10.1936
Rapport concernant le pasteur Schmidt de Zehdenick.
Mr pasteur Schmidt est membre du NSKK et en tant que tel a participé au Congrés du parti du Reich/ Reichsparteitag à Nurembourg cette année. Moi-même, je suis
et j'ai participé comme
Pasteur Schmidt se faisait remarquer inconvénablement dès le début à la gare de Charlottenbourg pendant l'aller vers Nurembourg. Avec des souhaits et des plaintes inutiles, il harcelait constamment la direction du transport. Il a d'abord exigé un « compartiment non-fumeur ». Cela semblait très ridicule à ses camarades, car bien sûr, vous ne pouvez pas faire la différence entre les compartiments dans un tel transport. De plus, il avait introduit clandestinement son vélo à notre insu et l'avait laissé dans le fourgon à bagages. Comment il a réussi à faire cela, nous reste encore aujourd'hui inexplicable. Schmidt fut bientôt connu au-delà des limites de la tente de la brigade comme « le pasteur fou » dans tout le camp. Il a toujours été le sujet de discussion du camp. Lorsque nous avons marché vers le champ de Zeppelin pour assister aux démonstrations de la Wehrmacht, Schmidt n'a pas concouru. En chemin, il est passé devant notre colonne sur son vélo en faisant signe avec ses mains. Ce n'est que par notre intervention que nous avons empêché que Schmidt fut été arraché de sa bicyclette par nos hommes et battu dans la rue. Deux fois, j'ai dû intervenir personnellement ce jour-là, parce que les camarades se sont réunis encore et encore et lui ont tendu une embuscade pour lui donner un bon rappel avec la bandoulière convenue. Malheureusement, on n'a pas pu empêcher que les détenus du camp aient organisé une sorte de défilé avec de la musique avec lui. Le jour du départ, il a expliqué qu'il ne pouvait pas rentrer à la maison avec nous. Il rentrerait à vélo et aurait encore des affaires importantes à faire.
Nous avons attiré son attention sur le fait qu'il était venu au congrès du parti et qu'il n'était pas à Nuremberg pour des affaires commerciaux. Il a commencé à se mettre en colère et voulait nous rendre responsables du recours si nous ne le laissions pas partir, ce serait une « privation de liberté » de notre part. Il aurait déjà envoyé ses affaires. Il aurait également envoyé son billet de retour – qui a été payé par la brigade – à la Reichsbahn pour être récompensé. Après toute ces actions individualistes égoistes ...., nous l'avions constamment observé, car il y avait un danger qu'il débande.Nous lui avons dit qu'il devait rentrer chez lui en toutes circonstances. Maintenant, il a commencé à jouer le malade et le déchaîné.